#BodyGlory : Nyakim Gatwech, la mannequin qui a réalisé son rêve !

La mannequin brillante et magnifique Nyakim Gatwech a inspiré de nombreuses femmes du monde entier à accepter leur unicité, à s'aimer et à se respecter.

Écrit par Salomé Chiche le

Girl boss spotted !

"Je le vaux bien", "je suis belle", "je peux le faire", "je me sens bien", "rien ne m'arrête", "je suis douée", "je crois en moi", "j'aime mon corps"...

Voilà les mini déclarations d'amour de vous à vous-même que vous méritez d'entendre pour réveiller la Girl Boss qui sommeille en vous. Le temps des doutes est révolu, jamais plus la pression des standards n’étouffera votre confiance en vous : pinky swear !

Notre corps a besoin d'amour, de bisous, de câlins tous les jours... et de mots doux ! Il nous aime certainement bien plus que n'importe qui. Qui d'autre ferait tout ce qu'il fait pour nous ? Il n'est pas parfait, mais il est unique et c'est justement ce qui le rend beau. Soyons réalistes, si la perfection était à notre portée, ne perdrait-elle pas toute sa valeur ?

Ladies and gentlemen, nous avons une grande nouvelle. Notre radar à Girl Boss s’est fortement activé en Éthiopie. La mannequin brillante et magnifique Nyakim Gatwech a inspiré de nombreuses femmes du monde entier à accepter leur unicité, à s'aimer et à se respecter.

Car chaque femme est merveilleuse à sa manière.

Enjoy,

Les Éclaireuses

1. Nyakim Gatwech, la mannequin que s'arrachent toutes les agences !

Nyakim Gatwech est une mannequin soudanaise au teint très foncé. À l'âge de 14 ans, elle a déménagé aux États-Unis d'un camp de réfugiés en Afrique, mais ses problèmes n'ont pas disparu. En raison du harcèlement qu'elle a subi en raison de sa couleur de peau, Nyakim a voulu abandonner son rêve de devenir mannequin. Mais elle est restée forte et a appris à s'aimer en entrant dans le monde du mannequinat.

2. Un parcours semé d'embûches !

Les enfants qui l'entouraient à l'école critiquaient trop souvent son teint trop foncé qu'ils nommaient "trop ​​sombre". Ils lui répétaient : "Tu ne dois pas prendre de douche. C'est pourquoi ta peau est sale", ou "Souris pour que nous puissions te voir !". 

Des remarques désobligeantes qui ont beaucoup fait souffert la jeune femme. Elle pleurait pour s'endormir toutes les nuits et voulait même se blanchir la peau parce qu'il y avait beaucoup de femmes soudanaises qui l'avaient fait. Sa sœur, qui l'a aussi fait, l'a convaincu du contraire : "Tu ne ferais pas que blanchir ta peau, tu te blanchirais l'esprit. Je l'ai fait et je le regrette."

3. Malgré ses réflexions, elle a réalisé son rêve !

À l'époque, le futur mannequin pensait : "Ces enfants pensent que je suis moche. Je ne me vois pas dans le monde du mannequinat." Mais elle a repoussé cette pensée de son esprit et a réussi à aimer sa propre beauté unique.

Elle a même été nommée "Reine des ténèbres" et est plutôt fière de son surnom. "On m'a demandé si j'aimais ou non mon surnom. J'ai dit que je l'aimais. Le noir n'est pas une couleur de tristesse, de mort ou de mal. Je suis donc la reine des ténèbres qui apporte lumière et amour à ceux qui m'entourent. "

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