Selon une étude, 44 % des parents sont angoissés par les fêtes de fin d’année… Et ça porte un nom

Si pour certains, les fêtes de fin d'année sont synonymes de magie, pour beaucoup, il est la pure définition de… l'angoisse. C'est ce que révèle une étude réalisée auprès des Français.

Écrit par Marie Ordioni le

"Natalophobie (nom féminin) :La natalophobie - la phobie de Noël - est considérée comme un trouble anxieux. Elle désigne à la fois l'angoisse, le sentiment de mal-être, de déprime, voire la tristesse que l'on peut ressentir à l'approche des fêtes de fin d'année" selon Santé Magazine.

Ahhh, les fêtes de fin d'année… Ça nous avait presque manqué. Les décorations, les cadeaux, la famille, les repas interminables… Tous les ans, on ne peut pas y échapper. Et tous les ans, deux équipes se dessinent très rapidement : ceux qui se laissent envoûter par cette magie… Et les autres.

Et ces "autres", ils sont nombreux : 44 % du côté des parents, selon une récente étude menée par IPSOS pour la société de téléconsultations Qare, relayée par ELLE.

Les parents angoissés par Noël

Pour réaliser cette enquête, l'IPSOS a ainsi interrogé 1 000 individus représentatifs de la population française. Les résultats révèlent que 44 % des parents de jeunes enfants sont stressés à l'approche des fêtes de fin d'année. Et 40 % du côté des femmes - soit 15 points de plus que les hommes. Il semble bien loin le temps où la magie opérait. Aujourd'hui et plus que jamais, Noël et le Nouvel An sont d'importantes sources d'angoisse. Famille, cadeaux, repas, alcool… Qu'est-ce qui provoque réellement cette anxiété ?

Leurs sources de stress

Pour 53 % des parents, et 50 % des femmes, l'aspect financier est la première cause de stress durant cette période. À l'approche des fêtes, les dépenses se multiplient. Dans un contexte où le prix de la majeure partie des produits augmente, beaucoup appréhendent leurs répercussions.

Chez 48 % des femmes, le sujet de la charge mentale à assumer pendant les fêtes revient sur la table. Gestion, organisation, préparation… Beaucoup de choses accumulées pour peu de petites mains !

Enfin, les excès d'alcool et de nourriture angoissent 40 % des femmes âgées de 18 à 36 ans. Et 36 % des parents sont anxieux rien qu'à l'idée de subir de énièmes séances d'interrogatoire par leur famille, à table. Des chiffres assez alertant, puisque la natalophobie peut mener à de réels et profonds problèmes mentaux et physiques. À ne surtout pas prendre à la légère…

Enjoy,

Les Éclaireuses

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